Nous continuons avec la seconde partie de notre article sur
des campagnes électorales truffées de fautes de français au Congo-Brazzaville.
Cette affaire qui a fait amuser les internautes congolais et indigner d’autres pendant
plusieurs jours mérite notre attention pour comprendre pourquoi le niveau
intellectuel de l’élite congolaise se meurt peu à peu.
Trouvez l’erreur dans
la photo ci-dessous.
Le faite(s) sur la photo, il manque le s et le "- " aussi il manque un accent sur DERRIÈRE. |
Ici c’est un ministre du gouvernement qui a trouvé comme
meilleur endroit pour sa publicité un panneau d’indication pour la circulation.
On a l’impression de vivre dans un pays sans lois.
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Trouvez l’erreur dans la photo ci-dessus, un candidat du parti UPADS, le parti cher au professeur Pascal Lissouba.
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Ici on ne sait pas si ce candidat se revendique en un transsexuel
ou autre chose, car il accorde tout au féminin.
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Ici les propriétaires de cette affiche s’insurgent contre la
tendance des candidats suppléants qui plus tard postulent pour la succession de
leurs députés.
Ce candidat du PCT emploie des abréviations du mot quartier,
mais oublie de les accorder au pluriel.
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Trouvez l’erreur dans
la photo ci-dessous.
Au Congo on refuse systématiquement d’accorder le S aux mots
législatives et élections.
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Trouvez l’erreur dans
la photo ci-dessous. Ici il s’agît d’un candidat d’origine immigrée. Il jouit
des prérogatives des facilités bureaucratiques que le Congo offre à tout le
monde de se régulariser et bénéficier de tous les droits de citoyen. Mais il
oublie que le Congo est un Etat laïque, en sollicitant le soutien des
communautés musulmanes et ouest-africaines.
Le candidat Konaté Mamadou participe aussi au festival des fautes de français. |
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