La CAHB (Confédération Africaine du Handball Africain) a été très satisfaite du tournoi réussi d’Oyo, grâce au sérieux démontré par la partie congolaise. En effet, le Congo n'a pas lésiné sur les moyens pour se hisser à la hauteur de l'événement. De l'hébergement à l'assistance médicale sur le terrain, en passant par le transport, l'accueil, rien n'a été laissé au hasard. Les délégations des équipes ont à peu près abondé dans ce sens aussi.
L'hôtel Alima Palace a hébergé les délégations du tournoi |
Entre matchs et séances de pratiques, les athlètes ont aussi profité des excursions nautiques sur la rivière Alima. |
Le pays hôte a pris la troisième place, synonyme de
qualification à coupe du monde (Macédoine 2014), après sa victoire contre le Sénégal.
Une phase du match Congo-Sénégal(petite finale) |
Les Diables-Rouges juniors-dames se préparent aussi pour leur bataille
Maintenant le Congo essaiera de sauver l’affront avec le
tournoi des juniors qui va débuter dans une semaine. Dans ce tournoi, il sera
aussi question de défendre le titre courageusement obtenue en 2011 au Burkina
Faso face à l’Angola en finale.
Les juniors dames du Congo pendant les pratiques dans le gymnase d'Oyo. |
Par ailleurs, la sélection nationale junior s’entraine déjà depuis
quelques jours dans le palais des sports d’Oyo. Elle est revenue d’un stage de
deux semaines à Abidjan. Mais la question est de savoir si cette équipe pourra rééditer
l’exploit de la génération dorée de 2011?
Jo-Verany Moukassa a été l'un des artisanes de la victoire contre l'Angola en 2011 |
Cette brillante génération qui a vu éclore
des joueuses aussi talentueuses comme Bellette Mambou, Jo-Verany Mounkassa, Mireille
Tchikaya ou Marjolaine Nkouka sera difficilement remplaçable en tout cas.
La liste des 19 filles qui prendront part à ce tournoi déjà été publiée par le staff technique. Sur cette liste, seule figure une seule rescapée de la cuvée 2011.
L'ironie du sort veut que ça soit Patricia Okoua Ngala, l'une des fuyardes du mondial d'Ostrava de l'an passé. Elle aurait été amnistiée contre un retour au pays. Comment voudrait-on évoluer dans la formation de nos jeunes athlètes, lorsque les dirigeants sportifs manquent eux-mêmes de sérieux sur les questions de discipline?
L'ironie du sort veut que ça soit Patricia Okoua Ngala, l'une des fuyardes du mondial d'Ostrava de l'an passé. Elle aurait été amnistiée contre un retour au pays. Comment voudrait-on évoluer dans la formation de nos jeunes athlètes, lorsque les dirigeants sportifs manquent eux-mêmes de sérieux sur les questions de discipline?
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